Excellent article, je partage un grand nombre des problèmes évoqués et de la conclusion.
Il y à beaucoup de chemin à faire, l’idée n’est pas d’opposer les modes de déplacements, mais bien de partager les espaces de déplacements.
Une prise de conscience individuelle peut très vite être balayée par la réalité quotidienne, pour autant il est important d’augmenter la part modale des déplacements doux, en aménageant l’espace urbain en conséquence.
Nous devons continuer à œuvrer en concertation avec les collectivités locales pour favoriser ces aménagements de manière très pragmatique.
Le retard pris en la matière en France, implique que cette transformation prendra beaucoup de temps, vraisemblablement une génération.
Nous avons encore la chance, ici sur notre territoire du Pays d’Ancenis, de prendre dès aujourd’hui les bonnes décision et de faire un territoire modèle en terme de déplacements doux, pour limiter au stricte nécessaire l’usage de l’automobile.
Le gain, sur la qualité de vie, sur la préservation de l’environnement, mais aussi sur le pouvoir d’achat est considérable.
Nous pouvons tous agir !
https://www.caradisiac.com/pourquoi-je-prefere-ma-voiture-a-mon-velo-pour-aller-bosser-a-regret-192408.htm?fbclid=IwAR2mGKLvjTR47EeWDAMWBgNBpi66R7qLdQXRClgXRzBxUySj_W3YoaULCG0
Pour un usage quotidien, le vélo cumule les avantages sur l’auto. Seulement voilà, la cohabitation avec les automobilistes est parfois si compliquée qu’on peut préférer renoncer à ce moyen de transport sain et écolo. Une situation bien regrettable, et pour laquelle les torts sont partagé…
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