L’arbre qui cache la forêt !
La part modale des déplacements à vélo a bien augmentée entre 2008 et 2019, mais…
Seulement sur la tranche d’âge 19-54 ans, et majoritairement chez les hommes.
Pourquoi ?
Le sentiment d’insécurité grandissant par des automobilistes mettant en danger les cyclistes, par l’absence d’une part d’infrastructures sécurisantes, mais aussi par le comportement ego centré des automobilistes de plus en plus pressé, n’acceptant pas la présence des vélos sur « leurs » routes.
Les jeunes, les femmes, et les personnes âgées sont les première victimes de décennies de politiques d’aménagement du territoire tournées sur la circulation automobile.
A l’inverse, encore portés en exemple, les Pays-Bas.
A l’heure où une crise énergétique majeure se profile, il est plus qu’urgent de réorienter les crédits vers un urbanisme en faveur des mobilités douces.
A noter que l’étude est antérieure à la crise sanitaire, espérons que cette tendance s’inverse.
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